Vous êtes-vous déjà demandé comment vous pouviez savoir hors de tout doute si vous êtes gay ou lesbienne?
Avez-vous récemment ressenti des doutes par rapport à votre orientation sexuelle?
Vous êtes-vous déjà demandé si vous étiez homosexuel(le)?
Dans cet article, j’essaierai de vous aider à comprendre les questionnements que vous avez peut-être et à reconnaître si vous êtes gay ou lesbienne.

Dans cet article, je vais tenter de vous apporter des précisons pour vous aider à mieux saisir la nature de vos doutes et de vos questionnements pour savoir si vous êtes gay ou lesbienne, ou non.
J’élaborerai aussi sur la façon de reconnaître si on est gay ou lesbienne, de manière générale.
En effet, plusieurs personnes doutent de leur orientation sexuelle.
Ces questionnements sont parfois agréables et apaisés, mais ils génèrent aussi parfois de l’anxiété et de la détresse psychologique.
Vous êtes peut-être vous-même aux prises avec de tels questionnements.
Ces interrogations peuvent être tout à fait fondées si vous pensez vous intéresser aux personnes de même sexe.
Mais ces doutes, s’ils reviennent constamment, peuvent aussi être la manifestation du trouble obsessionnel-compulsif (TOC).
Si vous vous retrouvez dans cette seconde situation, je vous fournirai également des ressources qui pourraient vous aider à vous sentir mieux si vous croyez souffrir du TOC.
Qu’est-ce que l’homosexualité?
Commençons d’abord par quelques définitions.
Le terme «homosexualité» a vu le jour au 19e siècle. Cette appellation a été développée par Karoly Maria Benkert, une psychologue austro-hongroise.
L’homosexualité se définit par le fait d’éprouver une attirance sexuelle, physique ou émotionnelle, pour des personnes du même sexe que soi.
Les origines des relations entre des personnes de même sexe remontent aux premières manifestations de la sexualité humaine.
Cependant, l’homosexualité a été maintes fois critiquée au fil du temps, à la fois par la religion et par les gouvernements en place.
Par exemple, plusieurs sociétés ont tenté par différents moyens de l’éradiquer, notamment en la rendant illégale ou passible de divers châtiments.
Certaines idées véhiculées faussement à propos de l’homosexualité la disaient contraire à la «loi naturelle».
Encore aujourd’hui, le fait de dévoiler son homosexualité est source d’anxiété pour de très nombreuses personnes, notamment à cause des préjugés véhiculés par la société contre les personnes homosexuelles.
L’expression de ces préjugés, aussi appelée «homophobie», fait risquer aux personnes homosexuelles le rejet, l’humiliation et même la possibilité d’être victime d’actes de violence gratuite.
Pourquoi l’homosexualité est-elle mal perçue, encore aujourd’hui?
Malgré une ouverture de plus en plus marquée sur le plan social, il y a encore, de nos jours, de nombreux préjugés et stéréotypes contre les gays et les lesbiennes.
Certains pans de la société ont encore une perception négative des minorités sexuelles.
Ainsi, on a longtemps cru, à tort, que les gays étaient responsables de la propagation du SIDA. Ceci, bien sûr, est absolument faux.
D’autres idées faussement véhiculées incluent le fait que les lesbiennes sont masculines et qu’elles détestent les hommes.
Ou encore que les gays sont efféminés et ont des mœurs sexuelles débridées.
Ces préjugés sont source de souffrance pour les personnes qui en sont victimes.
La population homosexuelle risque d’ailleurs plus de souffrir de dépression au cours de sa vie que les personnes hétérosexuelles.
Ces préjugés augmentent la confusion et les questionnements auxquels font face la plupart des adolescents et des jeunes adultes qui peuvent se demander s’ils sont gays ou lesbiennes.
L’identité et l’orientation sexuelle, deux concepts importants à ne pas confondre
L’identité et l’orientation sexuelles sont toutes deux des variables complexes.
Elles peuvent être influencées par des facteurs biologiques, sociaux et culturels.
L’identité sexuelle répond à la question «Qui suis-je?», tandis que l’orientation sexuelle répond à la question: «Par qui suis-je attiré(e)?».
Ni l’identité sexuelle ni l’orientation sexuelle ne résulte d’un choix.
L’identité sexuelle peut être liée à notre genre biologique, homme ou femme.
Notez que j’aborde ici la question du genre biologique uniquement, bien qu’il existe d’autres identités sexuelles et des personnes qui ne se reconnaissent pas en tant qu’hommes ou en tant femmes (transgenres, transsexuels).
Le sujet des identités sexuelles mériterait au moins un article entier et je n’approfondirai pas ici ce sujet car cela déborderait du cadre de cet article.
L’identité sexuelle, lorsqu’elle correspond au genre biologique, est liée au taux d’hormones dans notre corps.
Biologiquement, les êtres humains naissent de sexe masculin ou féminin, bien que des différences génétiques rendent cette question plus complexe, nuances que je n’aborderai pas non plus ici.
L’identité sexuelle est une variable qui évolue au fil du temps.
Ainsi, il existe peu d’individus qui sont 100 % homme ou encore 100 % femme.
Nous relevons un peu de chaque genre.
Ainsi, la grande majorité des gens ne sont pas 100 % hétérosexuel(le), homosexuel(le), gay, lesbienne, homme ou femme.
L’orientation sexuelle se décline en trois attractions principales (Il existe bien sûr d’autres orientations, mais je n’en ferai pas mention dans cet article):
1. L’hétérosexualité (être attiré par des personnes de l’autre sexe);
2. L’homosexualité (être attiré par des personnes de même sexe que soi);
3. La bisexualité (être attiré à la fois par les hommes et par les femmes).
Comment pouvez-vous reconnaître si vous êtes en phase exploratoire de votre sexualité?
Ressentez-vous le désir de découvrir une autre facette de vous-même, d’explorer de nouvelles avenues?
La phase exploratoire se vit normalement lorsque l’on est à la recherche de soi-même, à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.
Celle-ci consiste à explorer de nouvelles avenues, à sortir des sentiers battus sur le plan sexuel.
Les personnes qui s’y adonnent recherchent le plaisir.
Elles peuvent vivre des aventures sans lendemain avec des personnes du même sexe qu’eux/elles.
Le fait d’explorer sa sexualité ne crée pas de souffrance, de honte ni d’anxiété chez les personnes qui sont dans cette phase.
Au contraire, est très bien vécue par ceux et celles qui s’y adonnent.
Il est possible que ces personnes racontent, ou non, leurs aventures par la suite.
Êtes-vous à la recherche d’aventures passagères, plaisantes et peut-être sans lendemain, avec des personnes du même sexe que vous, ou des deux sexes?
Vous vous trouvez peut-être dans la phase exploratoire de votre sexualité.
Voici l’exemple d’un jeune homme qui raconte son expérience:
«À l’aube de l’âge adulte, vers 17 ans, je désirais très fort découvrir mon vrai moi et explorer ma sexualité.
C’était un besoin viscéral, incontrôlable.
Je n’y voyais absolument aucun mal.
Un soir, après avoir un peu bu, je suis allé dans un bar gay, j’y ai rencontré un chic type.
Je l’ai suivi chez lui, on a bu encore quelques verres.
Au final, j’ai passé une soirée divine en sa compagnie.
Suis-je homosexuel? Je ne crois pas…
J’ai simplement voulu essayer quelque chose de nouveau, d’un peu hors norme.
Je ne le regrette pas, car j’ai désiré cette aventure sans lendemain.
Ça m’a permis de mieux me connaître moi-même et de mieux me définir comme personne.
Aujourd’hui, je me sens à la fois attiré par les hommes et par les femmes.»
Les questionnements que vous pourriez avoir pour reconnaître si vous êtes gay ou lesbienne
Vous avez peut-être des questionnements et aimeriez savoir si vous êtes gay ou lesbienne.
Ceci est tout à fait normal, ne vous inquiétez pas.
À l’approche de l’âge adulte ou même vers le milieu et la fin de l’adolescence, la plupart des gens vont se questionner, éprouver des doutes, voire se demander s’ils sont gays ou lesbiennes.
Ceci fait partie de l’évolution de chacun(e) vers son épanouissement en tant que personne.
Ces doutes peuvent être influencés par différents facteurs, notamment sociaux, religieux ou culturels.
Ces questionnements peuvent aussi être liés à un manque d’estime de soi, à un conflit intérieur non résolu, à la peur de déplaire à sa famille, à de la confusion, ou à un autre problème personnel.
Si les pensées que vous avez par rapport au fait d’être gay ou lesbienne vous font ressentir de la curiosité, de l’excitation, de l’anticipation ou du plaisir, elles sont positives et vont conforter votre orientation sexuelle.
Si, par contre, vous sentez que ces pensées deviennent des pensées obsessionnelles dont vous ne pouvez pas vous débarrasser et qu’elles vous font douter de vous-même, il y a peut-être lieu de consulter des ressources pour vous aider.
Des critères importants pour vous aider à déterminer si vous êtes gay ou lesbienne
Tout d’abord, vous saurez si vous êtes homosexuel(le) si vous vous fiez à votre ressenti profond.
Lorsque votre conscience est claire (que vous ne ressentez pas de doutes), que ressentez-vous?
Les critères suivants peuvent vous servir de guide pour vous aider à déterminer si vous êtes gay ou lesbienne
1. Vous éprouvez une attirance physique pour les personnes du même sexe que vous.
Donc, depuis toujours, vous ressentez très clairement à l’intérieur de vous que vous êtes attiré par les hommes, si vous êtes un homme, et par les femmes si vous êtes une femme.
2. Vous remarquez davantage les personnes du même sexe que vous que celles de l’autre sexe lorsque vous marchez dans la rue.
Vous pouvez remarquer des personnes de l’autre sexe et même éprouver une attirance pour celles-ci, mais votre attention est davantage attirée par les personnes qui sont du même sexe que vous.
Notons que vous considérez cette attirance et cette attention comme positives. Par exemple, cela n’est pas source d’anxiété pour vous.
3. Vous remarquez la beauté physique de certaines personnes, qui sont toujours du même sexe que vous.
Vous pouvez bien sûr trouver des personnes de l’autre sexe attirantes, mais votre préférence va vers les personnes du même sexe que vous.
Attention: parfois on remarque la beauté physique d’une personne, mais cela ne veut pas nécessairement dire qu’on attiré(e) sexuellement par cette personne.
4. L’attirance que vous éprouvez pour les personnes du même sexe que vous vous fait ressentir un sentiment de bien-être, celui d’être en accord avec votre «moi» profond.
Votre orientation sexuelle fait partie, en fait, de votre identité.
5. Examinez vos anciennes flammes. À l’adolescence, étiez-vous davantage attiré(e) par des personnes du même sexe que vous?
Si vous vous rendez compte que la plupart de vos coups de cœur amoureux étaient pour des personnes du même sexe que vous, cela pourrait vouloir dire que vous êtes gay ou lesbienne.
Mais il est possible de ressentir de l’attirance envers une personne du même sexe que vous et cela ne veut pas nécessairement dire que vous êtes homosexuel(le).
Cela dépend de la fréquence et de l’intensité de ces élans passionnels.
6. Quand vous réfléchissez à vos anciennes histoires d’amour, vous vous rendez compte que vous vous sentez mieux lorsque vous êtes dans une relation amoureuse homosexuelle.
Vous pouvez avoir eu dans le passé des relations amoureuses ou sentimentales hétérosexuelles, cela fait partie de la découverte de qui vous êtes vraiment.
Mais vous vous sentez vraiment mieux lorsque vous êtes dans une relation amoureuse avec une personne du même sexe que vous.
7. Vous ressentez de l’excitation sexuelle en pensant ou en voyant des personnes du même sexe que vous.
Ce sentiment est naturel et il vous procure un sentiment de paix et de bien-être, en accord avec qui vous êtes.
8. Lorsque vous dévoilez votre homosexualité au grand jour, vous ressentez une grande joie, voire un sentiment de soulagement.
En annonçant vos couleurs, vous vous sentez bien avec votre être profond, vous sentez que vous êtes bien avec vous-même et que vous vous respectez.
Évidemment, si la révélation de votre orientation sexuelle à vos proches vous fait vivre du rejet ou des reproches, cela peut être difficile, mais malgré tout, vous vous sentez en accord avec vos besoins, vos intérêts et vos valeurs profondes.
9. Le fait d’être gay ou lesbienne fait partie de votre identité, que vous décidiez de rendre ce fait public ou non.
Depuis longtemps, vous savez que vous êtes gay ou lesbienne.
Cela fait partie de vous, même si cela a pu susciter des questionnements et des malaises à une époque ou à une autre de votre vie.
10. Vos fantasmes impliquent des personnes du même sexe que vous, et cela a le plus souvent été le cas.
Vous vous identifiez aux films qui montrent des scènes de proximité sexuelle entre des personnes de même sexe.
Ces scènes vous font aussi ressentir de l’excitation sexuelle.
Le témoignage suivant illustre l’exemple d’une femme qui a reconnu qu’elle était lesbienne:
«J’ai toujours su en mon for intérieur que j’étais lesbienne.
J’ai gardé ça secret jusqu’à mes 17 ans, parce que je ne croyais pas que ma famille apprécierait l’idée.
À l’école, j’ai rencontré une fille de qui je suis tombée amoureuse très rapidement, et c’était réciproque!
On s’est fréquentées en secret pendant 1 an, avant de l’annoncer à nos familles, qui l’ont surprenamment bien pris.»
Pour quelles raisons pourriez-vous avoir peur d’être gay ou lesbienne?
Il est possible que vous vous soyez déjà questionné pour savoir si vous êtes gay ou lesbienne.
Cela est normal et fait partie du cheminement d’un très grand nombre de personnes.
Et toute personne peut avoir des pensées et des doutes par rapport à son orientation sexuelle.
Ces doutes peuvent être dus, entre autres, à des facteurs sociaux.
Être gay ou lesbienne signifie appartenir à une minorité au sein de la société.
Malheureusement, le fait d’être homosexuel est, encore aujourd’hui, perçu comme quelque chose de négatif, et cela peut générer une grande anxiété.
Cela implique aussi, souvent, le fait de subir les conséquences des préjugés négatifs d’autres personnes, telles que l’homophobie, la discrimination et la stigmatisation.
De plus, dévoiler son homosexualité est source d’anxiété pour plusieurs personnes, à cause de la peur des réactions que cette annonce pourrait provoquer.
Mais certaines personnes hétérosexuelles se mettent à développer des pensées intrusives et des images homosexuelles (obsessions) et des doutes angoissants au sujet du fait que leur orientation sexuelle pourrait avoir changé et ne serait pas celle qu’elles désireraient.
Dans ce cas, leurs questionnements angoissés ne sont pas fondés mais sont plutôt les symptômes d’un trouble anxieux encore peu connu qui se nomme le trouble obsessionnel-compulsif (TOC).
Dans le TOC, les obsessions sont des peurs qui peuvent porter sur un grand nombre de sujets, incluant sur celui d’être homosexuel.
Voici le témoignage d’un homme qui craint d’être gay:
«Des pensées obsessionnelles sur le thème de l’homosexualité me sont apparues.
Ceci a commencé (la peur d’être homosexuel) lorsque j’ai rencontré ma conjointe et que j’ai eu des pannes sexuelles.
Depuis, je suis dans la peur constamment, peur des hommes, peur des homosexuels, peur de regarder un homme par crainte d’avoir une attirance.»
Comme vous pouvez le constater à la lecture de ce témoignage, ces pensées génèrent de l’anxiété et elles sont source de souffrance pour les personnes qui les ont.
Si la recherche sur Internet qui vous a fait tomber sur mon article visait à vous rassurer à l’effet que vous ne seriez pas homosexuel, il est fort possible que vous souffriez de ce type de TOC.
Je vais donc vous dire quelques mots au sujet du trouble obsessionnel-compulsif de la peur d’être homosexuel (aussi appelé «TOC homo»), car mon site contient de nombreuses ressources pour vous aider.
Si vous doutez constamment quant à savoir si vous êtes gay ou lesbienne, vous souffrez peut-être du trouble obsessionnel-compulsif
Si, depuis toujours, vous éprouvez une attirance marquée envers les personnes de l’autre sexe mais que vous vous êtes mis à avoir des doutes et que vous aimeriez savoir si vous êtes gay ou lesbienne, il est possible que vous souffriez du trouble obsessionnel-compulsif de la peur d’être homosexuel.
Les personnes qui souffrent de ce TOC ont peur de ne pas avoir l’orientation sexuelle qu’elles désirent:
- Elles se mettent à douter de leur ressenti, de ce qui a été leur orientation sexuelle jusqu’à présent.
- Elles se mettent à avoir des pensées indésirables qui provoquent de l’anxiété et qui sont source de détresse psychologique.
- Elles ressentent de la peur et de la confusion.
- Elles doutent d’elles-mêmes, ne savent plus faire la différence entre la réalité et leurs peurs et leurs doutes (pensées obsessionnelles).
Les homosexuels peuvent aussi souffrir de TOC et craindre d’être hétérosexuels puisque ce TOC porte plus généralement sur la peur de ne pas avoir la bonne orientation sexuelle.
La peur d’être homosexuel(le) est cependant plus répandue que la peur d’être hétérosexuel(le), simplement parce qu’en général, une plus large part de la population est hétérosexuelle.
Le témoignage suivant fournit un bon exemple de la manière dont se sent une personne qui souffre du «TOC homo»:
«Je ne veux vraiment pas être lesbienne.
Rien que d’y penser, je suis apeurée.
J’ai toujours été attirée par les hommes.
Mais les filles sont très jolies.
Et j’ai toujours été proche des filles, sans arrière-pensées.
Mais depuis ces pensées obsessionnelles, je me remets en question sur tout et je finis par croire que si je suis si proche de mes amies, c’est que je suis homosexuelle.»
Le TOC est causé par la réaction à des pensées que vous jugez répréhensibles, anormales, et que vous tentez à tout prix de combattre.
Pour vous aider à comprendre ce trouble j’ai d’ailleurs écrit de nombreux articles, notamment sur les obsessions et les compulsions qui se manifestent dans le TOC.
Des ressources qui pourraient vous être utiles si vous souffrez du TOC de la peur d’être homosexuel
Cette page fédère l’ensemble de mes ressources en ligne sur le TOC pour vous aider.
J’ai d’ailleurs conçu un programme Web vidéo autodirigé complet intitulé «Libérez-vous du TOC et des obsessions» qui vous explique comment adapter et appliquer le traitement contre le TOC à votre situation.
Libérez-vous du TOC et des obsessions
Programme Web vidéo complet sur le traitement du TOC et accompagné de mon livre sur les pensées intrusives en introduction.
Mais il est aussi recommandé de consulter.
Si vous désirez le faire, choisissez un(e) psychologue d'orientation cognitivo-comportementale qui a de l'expérience dans le traitement du TOC.
Ce sont les meilleurs spécialistes pour vous aider avec ce type de problème et, avant de débuter les séances, assurez-vous qu’il/elle peut réaliser le traitement d’exposition avec prévention de la réponse avec vous, car il est le plus efficace pour arrêter le TOC.
Voici une page qui vous aidera à trouver un(e) psychologue.
J’espère de tout cœur que cet article et les nombreuses ressources en ligne sur le TOC de mon site vous aideront comme elles aident un nombre croissant de personnes à travers le monde aux prises avec ce problème.
Si vous désirez partager vos expériences personnelles ou si vous avez des questions, les commentaires ci-dessous sont là pour vous!
Références
- Bhatia, S. Manjeet et Jaswinder Kaur, «Homosexual Obsessive Compulsive Disorder (HOCD): A Rare Case Report», dans Journal of Clinical and Diagnostic Research, 2015, vol. 9, no 1, p. VD01-VD02.
- Granta, Jon E. et al., «Sexual obsessions and clinical correlates in adults with obsessive-compulsive disorder», dans Comprehensive Psychiatry, 2006, vol. 47, no 5, p.325-329.
- Grayson, Jonathan, Freedom from Obsessive Compulsive Disorder: A Personalized Recovery Program for Living with Uncertainty, 2014, Berkley Trade, 384 p.
- Williams, Monnica T. et Samantha G. Farris, «Sexual orientation obsessions in obsessive–compulsive disorder: Prevalence and correlates», dans Psychiatry Research, 2011, vol. 187, no 1-2, p. 156-159.
- Williams, Monnica T., «Homosexuality Anxiety: A Misunderstood Form of OCD», dans L. V. Sebeki, (éd.), Leading-Edge Health Education Issues, 2008, Nova Publishers, p.195-205.
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